Bilan de votre niveau énergétique
Physioscan
Le principe du Physioscan
Le Physiocan est un appareil Russe de biorésonance issu de la recherche spatiale.
L’appareil permet de faire une analyse énergétique et informationnelle et nous permet de savoir quel système ou organe est à surveiller. Il permet de faire une harmonisation de bien-être par ré-information fréquentielle, appelée « méta-thérapie ». HISTORIQUE Durant les dernières décennies, la physique fondamentale et la biologie se sont rencontrées dans l’exploration de l’infiniment petit. De cette union féconde entre Physique quantique et biologie numérique sont nés des outils surprenants. La biorésonance ouvre de nouvelles possibilités d’exploration de compréhension et surtout de prévention, voir de corrections. Cette hyper technicité vient démontrer le rôle fondamental de notre vie intérieure, émotionnelle, dans les délicats circuits de notre équilibre métabolique. Suivant le précurseur et l’ingénieur Russe Georges Lakhovsky (1870-1942), la cellule vivante, végétale ou animale, est en tout point analogue dans son fonctionnement à un poste de radio émetteur/récepteur. G.Lakhovsky ira plus loin, constatant le lien entre perturbation émotionnelle et déclenchement de maladie par un déséquilibre oscillatoire des cellules. Sa description de l’interaction entre les chromosomes, l’environnement électromagnétique et les perturbations émotionnelles, font de lui le premier théoricien de l’épigénétique. Il a donc créé à cet effet un appareil à longueurs d’ondes multiples, dans lequel chaque cellule peut trouver sa fréquence propre. Des tests concluants furent conduits en hôpitaux, puis la technique, dans le vacarme de la guerre, disparut presque totalement avec son inventeur. Puis c’est la guerre froide et la course à l’espace avec le premier vol spatial en Russie en 1961. Dans la course entre les deux supers puissances, l’URSS mise des sommes phénoménales dans la recherche militaire et médicale. Mais l’URSS a malgré tout des moyens financiers moins importants que les Etats-Unis, ce qui pousseront les Russes à organiser des vols beaucoup plus longs car les phases les plus coûteuses sont le lancement et le retour. En 1974, le record des Russes est un vol de 134 jours pour 84 jours par les Etats-Unis. Ces records ont eu des effets désastreux sur la santé des cosmonautes et des effets heureux sur la recherche en médecine spatiale. Être privé d’apesanteur durant si longtemps, dans un environnement très exigu, confrontaient les organismes à des niveaux de stress sans précédent jusqu’à accueillir les cosmonautes en civière à leur arrivée et ils mettaient plusieurs mois à retrouver la capacité à marcher. Afin de maintenir la santé et d’évaluer son altération par des signes annonciateurs, le nouvel enjeu était de trouver des moyens d’agir de manière corrective et préventive. Il apparut que tous les paramètres usuels de la médecine (pression et composition sanguine, rythme cardiaque) variaient considérablement entre les moments avant le décollage et les instants qui suivaient l’arrivée en orbite. En revanche, ce qui fut découvert, c’est que la mesure des méridiens d’acupuncture restait constante : L’INVARIANT était trouvé ! D’où la médecine traditionnelle chinoise fut durant des années le référentiel médical des vols soviétiques. L’intérêt majeur de cette méthode comme celle de la thérapie quantique est que l’énergie d’un organe peut annoncer des mois à l’avance la perturbation de celui-ci. Alors que l’acupuncture se frayait difficilement un chemin en Occident, dans le royaume des cieux, l’élite de l’aérospatial soviétique se piquait consciencieusement chaque jour. Viser un point d’acupuncture et le piquer avec le mouvement adéquat est très incommode en apesanteur.
ACTUELLEMENT
La technologie allait à présent s’appuyer sur ce savoir ancestral pour le prolonger grâce à l’électronique et à l’informatique moderne. D’où l’émergence d’appareils quantiques tel que le Physioscan .A partir de combinaisons de fréquence, fut développée une sorte de radar capable de détecter des points d’énergie à la surface et en profondeur du corps humain. Le système se compose d’un émetteur/récepteur de basses fréquences, intégré à un casque posé sur la tête. Le tout est piloté par de l’informatique et une électronique capable de scanner les fréquences par résonance qui sont ensuite enregistrées. C’est sur ce signal enregistré que l’on peut ensuite faire des analyses quantitatives (niveau d’énergie) mais aussi qualitatives : comparaison à des signaux de référence présents dans des bases de données. L’appareil permet également des actions de régulation.
L’ENTROPIE ET LA CORRECTION INFORMATIONNELLE
L’entropie est un concept de science physique qui mesure la désorganisation progressive, plus ou moins rapide, d’un système organisé. L’organisation, l’ordre, la structure, sont un rassemblement d’énergie et d’information. Lorsqu’un système perd de l’information, ou que son information spécifique est polluée par des informations par désorganisation progressive vers les pathologies A ou B. Dans cette vision cybernétique, redonner une juste information sera considéré comme un traitement informationnel visant à diminuer l’entropie, c’est-à-dire à renvoyer l’organe sur une trajectoire de santé dont il était en train de s’éloigner mais de manière souvent indétectable cliniquement et souvent asymptomatique. La correction informationnelle se nomme « ré-information » et consiste à envoyer, via le casque porté, une combinaison de fréquences harmonisantes qui vont aider à restaurer l’homéostasie énergétique. Cette correction se nomme « Méta Thérapie », ce qui correspond à accorder les zones ou points sur la fréquence optimum de fonctionnement. C’est exactement le même principe que pour accorder un piano, une guitare. Si la corde est trop tendue, alors la note est trop aigüe …et si on la tend encore, elle va casser : Burn Out ?
Souvent les douleurs ne sont plus inscrites dans le corps physique, mais, à force de répétition, se trouvent dans la mémoire énergétique de la zone. La « Méta Thérapie » permet de libérer la mémoire cellulaire traumatique. Le Physiocan s’inscrit dans une démarche de santé globale préventive, ou dans un protocole de corrections véritablement holistique. Il permet de voir sur une personne donnée si les désordres sont plutôt énergétiques, émotionnels ou fonctionnels. Quelle est la tension du système neuro végétatif ?
Quelles sont les zones du cerveau qui ont le plus accumulé de stress ?
Le cœur est-il perturbé par une « peine de cœur » ?
L’énergie est-elle bloquée dans une zone qui a reçu un choc il y a plusieurs dizaines d’années ?
Le Physioscan objective le terrain de l’organisme, évalue les capacités adaptatives des différentes fonctions de l’organisme et définit les déséquilibres initiaux.
L'analyse énergétique et informationnelle
Evaluation simple et rapide du niveau de stress et des capacités d’adaptations des organes, tissus et cellules. Le Physioscan vous permet en quelques minutes seulement d’obtenir des informations précises sur l’état de tous les systèmes du corps humain : endocrinien, nerveux, osseux, digestif, lymphatique... La fonction "bilan comparatif " permet le suivi du patient au fil du temps. Pour restaurer les fréquences organiques optimales. Elle s’effectue par l’intermédiaire du casque qui active l’organe ciblé par un spectre de fréquence spécifique et lui communique l’information autorégulatrice.
L’analyse Physioscan repose sur deux indicateurs principaux
1.
Tout d’abord des pictogrammes qui indiquent l’énergie pour chaque cellule, tissu, organe. Ceci nous donne des informations sur les réserves énergétiques, le niveau d’adaptation dont est capable la zone et son niveau de stress.
2.
Le second indicateur est un système de courbes qui nous renseigne sur le lien entre la zone évaluée et l’ensemble de l’organisme. Ces courbes permettent de détecter quels systèmes ou organes sont énergétiquement perturbés. C’est un indicateur très important, car ces courbes sont l’essence même de la prévention car elles permettent de détecter une perturbation avant qu’elle soit inscrite dans la biologie.